Problème, constat initial : Les changements radicaux nécessaires ne suivent pas le niveau de prise de conscience. Cet écart s’explique par de nombreux obstacles, notamment : la croyance que l’humain est en dehors du vivant, les effets de groupes et des freins individuels. L’écologie sensible est une réponse clé à cet écart mais dont les outils sont encore peu connus et étendus.

Solution : En passant par les sens, les émotions et les effets de groupes, l’écologie sensible permet de changer en profondeur les systèmes de croyances et d’appuyer les trajectoires de changements. Le Réseau d’écologie sensible est animé par un cercle de soutien composé de différents collectifs offrant du soutien et de la formation aux animatrices et animateurs en écologie sensible. Le cercle de soutien créé des coopérations fortes pour accompagner la montée en puissance et en qualité de ces dernièr.e.s.

Ambition et impact : A travers ce cercle de soutien, le Réseau d’écologie sensible souhaite professionnaliser et élargir l’offre d’écologie sensible ainsi que le public auquel il s’adresse.

Équipe : C’est Elie (Vincent) Wattelet, écopsychologue pionnier de la transition intérieure en Belgique à travers son travail sur la relation profonde entre l’humain et le reste du vivant, qui a présenté ce projet à la Fondation Crazy Edgar. Il coordonne le projet avec Rozan Consten, facilitatrice du travail qui relie avec une expérience forte dans le domaine de l’environnement à un niveau politique Européen.